Respectable Loge «Rencontre Fraternelle» à l’Orient de Varsovie
La franc-maçonnerie est aussi francophone en Pologne.
La Respectable Loge «Rencontre Fraternelle» a été créée il y a plus de 20 ans pour rassembler tous les francs-maçons francophones résidents ou de passages en Pologne, sous la bannière du Droit Humain. Notre développement permanent nous permet depuis de nombreuses années d’ouvrir nos travaux deux fois par mois et d’accueillir tous les Frères et les Sœurs désirants partager avec nous notre égrégore.
La Loge «Rencontre Fraternelle» est un lieu hors du commun qui rassemble des frères et sœurs, français, polonais, suisses, belges, camerounais…, travaillant aussi bien dans notre Loge bleu que dans les ateliers de perfections. Vous y trouverez une ambiance spécifique, une véritable amitié qui unie fraternellement tous les membres de cette Loge.
Si vous parlez le français et que vous n’êtes pas franc-maçon, mais que vous désirez frapper à notre porte, nous vous invitons très chaleureusement à remplir le questionnaire qui se trouve à la rubrique DOŁĄCZ DO NAS.
Pour tout renseignement complémentaire permettant de participer à nos travaux, veuillez nous envoyer un message e-mail, afin que notre Vénérable puisse vous contacter. Frappe à la porte de notre Temple et l’on t’ouvrira…
Travaux le 2ème et le 4ème lundi de chaque mois à 19H00.
Bienvenus à la Fédération polonaise de l’Ordre Maçonnique Mixte International «LE DROIT HUMAIN».
Vous pouvez librement naviguer sur notre site.
En parcourant nos pages, il est possible que vous rencontriez des termes ou des mots qui vous sont inconnus. Dans ce cas, vous avez le choix : soit vous effectuez une recherche personnelle, soit vous nous contactez par courrier électronique.
L’Ordre Maçonnique Mixte International «LE DROIT HUMAIN» affirme l’égalité de l’homme et de la femme.
En proclamant LE DROIT HUMAIN, l’Ordre veut qu’il/elle parvienne, sur toute la terre, à bénéficier, d’une façon égale, de la justice sociale dans une humanité organisée en sociétés libres et fraternelles.
Composé de francs-maçons, hommes et femmes fraternellement unis, sans distinction d’ordre social, ethnique, philosophique ou religieux, l’Ordre s’impose, pour atteindre ce but, une méthode rituelle et symbolique, grâce à laquelle ses membres édifient leur temple au progrès et au perfectionnement de l’humanité.
Fidèles au principe de laïcité, respectueux de la liberté absolue de conscience de chacun, les membres de l’Ordre travaillent à concrétiser les principes de liberté, d’égalité et de fraternité et à réaliser pour tous les humains, le maximum de développement moral, intellectuel et spirituel, condition première du bonheur qu’il est possible à chaque individu d’atteindre dans une humanité fraternellement organisée.
L’Ordre ne professe aucun dogme et refuse tout dogmatisme ; il travaille à la recherche de la vérité. C’est pourquoi, dans les ateliers, les discussions ou débats ayant trait aux questions politiques ou religieuses ne pourront en aucun cas avoir d’autre but que d’éclairer les membres et leur permettre de remplir en meilleure connaissance de cause, leurs devoirs de francs-maçons.
Le docteur Janusz Korczak fut un homme tellement hors du commun, que le qualifier simplement « d’extraordinaire » serait largement en dessous de la vérité. Sa biographie présentant l’homme et le maçon qu’il était ayant été déjà présentée dans notre Bulletin International, je me limiterai à retracer les grandes lignes de sa silhouette par un court rappel. Sa vie étant largement connue, j’écris ces quelques réflexions afin de tracer schématiquement, un résumé de sa biographie afin de répondre à la question qui nous préoccupe, « en réalité, qui était cet homme ? ». Comment était-il perçu, et ce, plus précisément par ceux qui ont été fascinés par sa grandeur, par une des plus grandes figures humanistes et aussi comment s’est-il vu lui-même ?
Réflexion sur l’un des plus puissants moteurs de l’humanité
Introduction
« Ceux qui me traitent d’hypocrite et d’ambitieux me connaissent peu : je ne réussirai jamais dans le monde, précisément parce qu’il me manque une passion et un vice, l’ambition et l’hypocrisie. La première serait tout au plus pour moi de l’amour propre piqué : je pourrai désirer quelquefois être ministre ou roi pour me rire de mes ennemis ; mais au bout de vingt-quatre heures je jetterais mon portefeuille et ma couronne par la fenêtre[1]. » A tout seigneur, tout honneur. J’ai choisi CHATEAUBRIAND pour ouvrir cette planche.
Le mot « Ambition » vient du latin « Ambitio », aller autour, de amb, autour, et ire, aller. Il trouve son origine à l’époque de la Rome antique lorsque les candidats à une charge publique sillonnaient les campagnes de Rome pour solliciter les suffrages des citoyens. Ce désir d’être élu, et partant, d’obtenir une parcelle de pouvoir, a fini par signifier le désir d’acquérir de la gloire et des honneurs. Comme l’amour, l’ambition est l’un des grands moteurs de l’humanité.
De la perpendiculaire au niveau ou un premier bilan de l’immense chemin qu’il me reste à faire.
La perpendiculaire est un outil qui montre la verticale et le niveau un autre outil du maçon qui lui montre l’horizontal. Ce sont deux outils d’orientation qui nous permettent de savoir où nous en sommes et de nous orienter dans l’espace.
Sur le plan symbolique, ils sont associés à élever sans cesse l’amélioration de l’état moral et matériel des individus et de la société entière (perpendiculaire) et au nivellement des inégalités arbitraires (niveau). Je m’attacherai à ces deux symboles pour faire le point sur ce que j’ai appris, ressenti et compris pendant mon année d’apprentis et ces premiers mois de compagnon.
Ma découverte du symbolisme :
Il taille sa pierre en associant l’esprit critique à une écoute des anciens. En découvrant le symbolisme, je l’ai rapidement comparé aux analogies faites dans le monde profane pour mieux saisir le sens d’une idée, d’un raisonnement. J’y ai vu comme un langage qu’il faut manipuler avec force connaissances et qui nécessite une rigueur d’apprentissage que je n’ai malheureusement pas encore acquise a ce jour.
La mécanique quantique pour les nuls
La mécanique quantique a ouvert les portes d’un nouveau monde, fascinant et très différent du notre.
Quantique vient de quantum, signifiant la plus petite unité indivisible, bref les choses les plus petites qui puissent exister, ou que nous connaissions.
Dans le monde quantique, tous les aspects du monde réel sont flous et potentiels. On parle de la probabilité de l’état d’un objet de notre monde. L’objet n’a pas dans le monde quantique d’existence dans le sens où nous l’entendons. Par exemple, dans ce nouveau monde nous ne pouvons plus dire que les planètes possèdent une position et une vitesse bien déterminées ou que notre temple existe toujours lorsque nous ne sommes pas là pour l’observer.
Que signifie être libre ? Est-ce qu’être libre, par exemple, se limite à l’être de ses mouvements. Peut-on être à la fois privé de liberté, tout en restant libre de ses mouvements ? Robinson Crusoé était-il libre, naufragé sur une île déserte ?
Pour répondre à ces questions, nous devons comprendre ce qui fait que les gens en arrivent à se considérer comme libres. Peut-on, par exemple, dire que les animaux sont libres ?
Quelle est d’ailleurs la différence entre les êtres humains et les animaux ? On pourra remarquer que les animaux naissent déjà programmés par la nature et que peu ou prou les différences entre les différents individus au sein d’une espèce restent constantes, et ne varient pas jusqu’à l’extinction de cette dernière. Je considère que si certains animaux peuvent être en liberté ils ne sauraient pour autant « être libres ».
Les êtres humains, comme les animaux, sont formatés par la nature, plus exactement par leur patrimoine génétique, mais là où les animaux ne changent jamais, l’histoire de l’humanité nous montre à quel point les Hommes ont été différents dans le monde et de par les différentes époques.